La Gauche, les images et l’islamisme.

Instrumentaliser est un mot à la mode. Une accusation lancée à chaque invective des factions politiques : la Gauche libertaire accuse la droite libertaire d’instrumentaliser les conséquences de l’absence d’ordre dans une cacophonie qui perd jusqu’aux chaînes d’information. Là où chacun se rejoint, c’est quand le cosmopolitisme décide d’imposer une image. Ainsi la construction photographique de la mort du petit Aylan fit le tour des écrans et des unes avec un objectif politique affirmé. Les éditorialistes rivalisèrent alors de chocs émotionnels et de procédés de sidération pour imposer réflexes et lignes politiques.

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Aujourd’hui, les images circulent avec une extrême liberté.

Horreur au Bataclan, terreur sur la promenade des Anglais, violence visuelle de Saint-Quentin Fallavier ou Magnaville, tout est disponible. Mais l’Etat ne l’entend pas de cette oreille : les effets de masse du regard de la Nation sur ceux qui l’assassinent pourraient provoquer une prise de conscience trop dangereuse. Il faut donc masquer, cacher, interdire. Interdire jusqu’à la conservation des images de vidéo-surveillance de la mairie de Nice. J’avais d’ailleurs déjà interpellé le gouvernement sur la manipulation de l’après Bataclan. L’Etat va alors contre les libertés : non pas pour préserver la conscience des familles, nous savons ce qu’il en est de son attitude réelle à ce sujet, mais pour préserver son compromis politique.
Nous connaissons déjà leur réponse : l’Etat de droit. L’Etat de droit qui bénéficie si gracieusement à Salah Abdeslam. Je crois plutôt comme le disait Dominique Moisi au Point la Semaine dernière qu’ « il faut se méfier des bolchéviques de l’Etat de droit qui rejettent la notion même d’état d’urgence ». Les musulmans fanatiques infiltrés dans notre pays, notamment du fait du Grand Remplacement, se placent hors des champs nationaux et juridiques, pour se prémunir des Sidi Ahmed Ghlam, des Yassin Salli, et autres Larossi Aballa, il faut en venir à un état d’exception qui est possible tout en respectant les libertés des Français.
L’Etat islamique n’a pas besoin d’organiser lui-même des attentats sur notre sol. Ses sbires sont tous prêts à agir par haine de la France et de l’occident. Ses soutiens sont présents dans bien des villes de notre pays. La France est gangrénée par une colonne intérieure : l’islamisme radical. Cette colonne est la responsabilité des cosmopolites et des immigrationistes qui obèrent l’avenir de notre pays depuis quarante ans.
Ecoutons ce que disait les officiers de sécurité algériens à nos policiers en novembre 2015 : « Vous n’exploitez pas assez les personnes incarcérées pour des affaires de terrorisme. Et vous avez laissé pulluler des cellules dormantes sur votre propre sol. » Je ne comprends d’ailleurs toujours pas, ou alors je ne comprends malheureusement que trop bien, de voir l’atonie de la presse devant le gouvernement. Hollande, Valls, Cazeneuve sont coupables. Coupables de dissimuler la réalité aux Français, coupables de poursuivre les politiques qui permirent les attentats, coupables de dire « Pas d’Amalgame » là où les Français veulent que s’applique le « Pas de quartiers »

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