Remaniement : la Gauche toujours complice des drames

La Gauche a ceci de particulier de conserver une affection singulière pour les utopies. Elle veut un homme, une société et une matière politique renouvelés. C’est exactement à cette farce que François Hollande vient de s’adonner.

Maitre trahi de deux anciens collaborateurs en course pour attirer les voix du progresso-républicaine ou du républicano-progressisme, il continue à se positionner en fonction de ces derniers. Ces deux poulains espèrent assumer le bilan d’une politique pourtant unanimement rejetée par les Français. Et cela énervait le patron qui a donc choisi un gouvernement à sa main.

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La promotion est tout sauf méritocratique. Bruno Le Roux, patron d’un groupe socialiste qui s’est signalé par son désordre, est choisi pour le ministère de l’intérieur. Garant des libertés publiques, il est pourtant célèbre pour sa haine de tous les opposants au Grand Remplacement à la culture de mort. Bernard Cazeneuve, nouveau premier ministre, aura été celui qui n’a pas su prévenir les attentats islamistes à répétition sur notre sol. Dans une Nation normalement administrée, il eût disparu dans une habitation reculée depuis bien longtemps. Par ailleurs, sa gestion du chaos de la loi travail et le comportement du ministère de l’intérieur contre notre camp inquiètent beaucoup sur les orientations qui pourront être prises pendant 5 mois.

Hollande aura donc livré son dernier paradoxe politique. Incapable de se présenter une nouvelle fois aux élections présidentielles, il veut faire accepter ses lieutenants les plus idéologues aux Français. A moins que ce ne soit un nouveau caprice.

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